LEADERSHIP

Fabrice Santoro monte au filet sur la résilience

Le 25 janvier dernier, une poignée d’heureux clients ont reçu leurs invitations privilégiées à Roland-Garros. Fabrice Santoro y a joué en double avec Splunk sur le sujet de la résilience. Le monde du sport et celui de l’entreprise ont décidément beaucoup en commun…

Fabrice Santoro joue en double sur la résilience

L’histoire d’amour entre Fabrice Santoro et Roland-Garros dure depuis longtemps. En 1989 déjà, il y remportait le tournoi junior. Puis le tennisman français a enchaîné en plus de 20 ans de carrière professionnelle des succès retentissants… mais aussi des défaites inévitables. Il ne s’est jamais départi de son style détonnant, la fameuse prise de raquette à deux mains, mais aussi de sa capacité très remarquée à jouer en double ! Ça tombe bien, c’est ce qu’il a fait avec Splunk lors de cette soirée, l’occasion d’échanger sur la résilience. Voici ce qui m’a particulièrement marquée dans ce match amical.

Les athlètes, des modèles de résilience

Pour Fabrice Santoro, quand on fait du sport de haut niveau, « on se construit dans les victoires mais aussi dans les défaites car elles font partie de notre quotidien. Faire c’est prendre le risque d’échouer mais c’est surtout se donner la possibilité d’accomplir de belles choses. Il trouve plutôt rassurant de voir que dans les carrières des plus grands, les plus grandes réussites ont souvent démarré par des échecs. Le parallèle est facile à faire dans le monde de l’entreprise. Prenez le commerce de détail traditionnel. Lorsque le commerce en ligne a commencé à éclore, ne rien faire et continuer d’avoir une présence uniquement en magasins physiques aurait été synonyme de disparition pure et simple. 

La faculté à rebondir vite est essentielle. C’est souvent la différence entre les champions et les très grands champions. Il ne faut surtout pas arrêter quand on vit un échec. Au contraire, la clé est d’analyser comment s’améliorer pour la fois suivante et repartir au travail. On le voit pour les organisations victimes de cyberattaques. Une fois le plan de reprise d’activité défini et mis en place, il est temps de tirer des conclusions de ces échecs et de s’améliorer en vue d’une prochaine attaque. Cela peut passer par une meilleure communication, de meilleurs processus, le redéploiement de personnes plus adéquates aux postes clés lors des crises, etc. L’un des interviewés de notre podcast Les Résilients, Patrick Prosper, RSSI de Groupama, l’évoque dans cet épisode.

Penser au-delà de la fin du match

La performance est une chose, la performance dans la durée en est une autre. Sur ce dernier point, Fabrice Santoro a partagé ces 5 points :

  1. Il est important de définir ses objectifs à moyen - long terme, au-delà du match.
  2. On ne peut pas réussir dans la durée sans être passionné, sans se réinventer. 
  3. La concurrence est tellement importante que l’on doit sans cesse repousser ses limites.
  4. Performance et plaisir sont compatibles et essentiels pour durer. 
  5. Le seul point commun que j’ai trouvé entre toutes les personnes « successful » est la force de travail.

Dans le milieu des années 1990, le tennisman décide de modifier son style de jeu. Et c’est ce qui a donné un second souffle à sa carrière, et lui a finalement permis d’obtenir ses plus beaux succès.

Dans le domaine de l’entreprise, il est essentiel d’avoir une visibilité sur tout ce qu’il s’y passe en temps réel pour connaître ses limites mais aussi prévoir sur le long terme. Pour cela, l’observabilité est un atout intéressant, car elle aide les décideurs métier à prendre les bonnes décisions sur les stratégies, les priorités et les investissements.

La perfection c’est bien, savoir s’adapter c’est mieux

Le tennis est un sport qui demande une immense faculté d’adaptation. On joue sur tous les continents, sur différentes surfaces, avec des changements de fuseaux horaires et de températures, et des horaires des matchs qui varient (on peut jouer à 10h un jour et à 23h le jour suivant), sans parler des adversaires qui posent tous des problèmes différents. Au tennis, il n’y a pas de plan de jeu parfait. Fabrice Santoro l’explique simplement : « Sur 10 coups que l’on joue, la balle arrive 10 fois d’une façon différente. »

En entreprise, passer de la visibilité à une action adaptée est essentiel. C’est ce que permet notre plateforme unifiée de sécurité et d’observabilité.

Pour conclure, comme le dit Fabrice Santoro :

« Le minimum, c’est de faire le maximum. »

Faire le maximum pour être prêt à affronter l’imprévu, c’est aussi ça, la résilience.

Pour plus d’histoires de résilience, je vous invite à découvrir notre podcast Les Résilients.

Fanny Doukhan
Posted by

Fanny Doukhan

Cela va bientôt faire trois ans que j'ai rejoint Splunk, où j'occupe actuellement le poste de Country Manager pour la France. 

Avec une carrière entièrement dédiée au domaine de l'IT, j'ai acquis une solide expertise dans la gestion des clients français, tout d'abord en adressant le marché mid market à Paris et en régions chez Symantec, puis en développant mon expertise en tant que responsable grands comptes chez Symantec et Veritas. Avant Splunk, j'ai eu le privilège de constituer et de diriger l'équipe Entreprise chez Pure Storage.