Audrey, c’est une petite fourmi, qui travaille d’arrache-pied, mais toujours avec humilité. Elle arpente la région Sud, de Montpellier à Monaco, avec son regard toujours pétillant, son large sourire et son bagout naturel. C’est une personne fidèle, à autrui comme à ses engagements. Elle n’a qu’une parole et le revendique. Serait-ce son côté ardéchois… ou Capricorne, ou bien un peu des deux ? En tout cas si vous additionnez travail, intégrité et loyauté, sans oublier une pincée de légèreté, vous obtiendrez un portrait plus que fidèle de ma nouvelle interviewée, Audrey Archambault.
Audrey, comment t’es-tu retrouvée dans l’IT ?
L’IT, pour moi, c’est un pur hasard ! En revanche, j’ai le virus du commerce depuis l’enfance. Petite, j’accompagnais déjà mon père sur les marchés (je suis originaire d’une famille de viticulteurs depuis plusieurs générations). J’ai tenu la caisse dès que j’ai su compter et j’ai passé la plupart de mes étés d’adolescence à travailler dans le domaine viticole. Par la suite, j’ai continué « les petits boulots » pour financer mes études en tant qu’hôtesse d’accueil ou vendeuse. Toujours au contact des clients et toujours avec le sourire !
Après un stage de fin d’études à la Chambre de commerce et d’industrie de Grenoble au sein du service Développement du Commerce, j’ai été recrutée par un intégrateur de solutions informatiques grenoblois. Et depuis, je n’ai plus quitté l’IT…
Ces 16 ans dans l’intégration m’ont permis, au travers de différents postes, d’acquérir des connaissances et compétences assez larges au niveau IT : téléphonie, réseau, sécurité, infrastructure, sauvegarde, cloud, transformation numérique, conseil et services… J’ai également déménagé pour me rapprocher de ma famille et de ma région natale et j’ai posé mes valises en Provence en 2007.
Dix ans plus tard, j’ai eu l’opportunité de changer de perspective en intégrant les équipes d’un constructeur, spécialiste du stockage flash. Une très belle expérience, qui m’a définitivement convaincue de l’importance de la gestion et de la valorisation de la donnée au sein des entreprises.
Et comment es-tu arrivée chez Splunk ?
Je connais Splunk depuis mes années chez un intégrateur. J’étais déjà conquise par ses solutions, notamment dans le domaine de la cybersécurité. Lorsque l’opportunité s’est présentée à moi de rejoindre la famille des Splunkers, j’ai été immédiatement enthousiaste et j’ai découvert le champ infini des possibles qu’ouvre Splunk : observabilité, sécurité, ITOps, monitoring métiers…
J’ai rejoint l’équipe il y a plus d’un an et demi maintenant et je découvre encore des cas d’usage ! C’est impossible de s’ennuyer chez Splunk.
Quel est ton meilleur souvenir chez Splunk ?
J’ai tellement de bons souvenirs chez Splunk ! Mais si je devais en choisir un, ce serait le team building auquel j’ai participé à mon arrivée. L’équipe m’a très rapidement intégrée et je profite de l’occasion pour les en remercier. Je suis très sensible à la culture d’entreprise et il est fondamental pour moi de partager des valeurs communes.
Les Splunkers sont très fortement attachés à leur entreprise. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que Splunk a une nouvelle fois été nommé au palmarès Fortune 2023 Best Workplaces in Technology.
Ça ressemble à quoi une journée dans tes baskets ?
Je commence généralement ma journée par déposer mon fils au collège. Puis j’enchaîne avec ma journée professionnelle. Les locaux de Splunk étant sur Paris, je travaille à domicile où je me suis installé un bureau cosy afin de bénéficier d’un cadre de travail agréable. J’alterne entre les visioconférences et les déplacements chez nos clients pour les accompagner dans leurs différents projets.
J’échange également très régulièrement avec nos partenaires et je participe à de nombreux évènements IT. Je suis par ailleurs membre du CIP (Club Informatique PACA) et du CEFCYS (CErcle des Femmes de la CYberSécurité).
La fin de journée est consacrée à ma famille et me permet de retrouver un peu de calme après une journée très animée.
Quels projets te tiennent à cœur en dehors de Splunk ?
L’IT est un milieu en mutation permanente et le rythme de manière générale est assez effréné. C’est vraiment passionnant et très addictif pour les personnes comme moi en perpétuel mouvement. Il m’est donc nécessaire de faire des pauses pour me ressourcer. Et pour cela, rien de tel à mes yeux que la montagne. Le temps ne s’écoule plus à la même vitesse dès lors que je suis sur des skis ou en randonnée. D’ailleurs, je partage bien souvent ces activités en famille ou avec des amis. Et c’est aussi ce qui en fait des moments riches à mes yeux. Je dis souvent que peu importe le lieu où nous sommes, le plus important est avec qui nous sommes.
Je suis aussi sensible à l’environnement et au monde que l’on souhaite laisser à nos enfants. J’essaie, à mon niveau personnel et au quotidien, de transformer mes habitudes de vie et de consommation afin de réduire mon impact sur l’environnement. Bien évidemment, c’est loin d’être parfait, mais je pense vraiment que chaque geste compte.
Une phrase qui te représente ?
Ardéchois cœur fidèle !
Je suis très fière de mes origines et je suis très attachée aux valeurs que sont le travail et l’intégrité.
Et une œuvre à conseiller ?
En tant que grande lectrice, j’opterais plutôt pour un livre même si cela reste difficile d’en sélectionner un en particulier. Je dirais que les derniers livres qui m’ont marquée sont « Les impatientes » et « Cœur de Sahel » de Djaïli Amadou Amal, sur les conditions de vie des femmes au Cameroun. L’écrivaine y dénonce les violences et injustices subies par les femmes dans son pays.
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Pour plus d’histoires de Splunkers, retrouvez notre Splunker de longue date Matthieu Araman ou notre citadine avide de découvertes culturelles Fanny Doukhan ! Et pour nous rejoindre, visitez notre page carrières !
